Chez Alfaliquid, pionnier français de la vape et fabricant engagé pour une vape responsable, nous accordons une importance particulière aux évolutions du marché et aux attentes des consommateurs. Aujourd’hui, nous partageons avec vous les résultats clés d’une enquête exclusive réalisée par l’IFOP pour Kumulus Vape, révélant les grandes tendances du vapotage en France en 2025.
Découvrez en détail tous les résultats et enseignements du sondage IFOP 2025 sur la vape en consultant directement l’étude via ce lien : Etude sur le vapotage 2025 Ifop pour Kumulus Vape.
Communiqué par kumulus vape le 13/03/2025.
Article du site https://www.kumulusvape.fr/content/409-sondage-ifop-vapotage-2025
Dans la continuité d’un premier sondage conduit en 2024 avec BVA Xsight, ayant pour but d’analyser l’opinion et le comportement des français à l’égard de la cigarette électronique, Kumulus Vape a sollicité l’IFOP (Institut Français d’Opinion Publique) pour mener une seconde enquête. Réalisée du 4 au 10 février 2025, sur un panel de 1000 fumeurs et vapoteurs majeurs, celle-ci s’appuie sur la technique empirique des quotas qui garantit la représentativité de l’échantillon. Son objectif est de fournir un nouvel état des lieux de l’usage et de la perception du vapotage en France.
Infographie sondage IFOP pour Kumulus Vape sur le Vapotage
Des bénéfices confirmés mais des enjeux à surmonter
Une solution toujours plébiscitée pour arrêter de fumer
Les données recueillies montrent que la majorité de la population (soit 56%) reste convaincue de l’efficacité de la vape dans le cadre d’un sevrage tabagique. En parallèle, chez les fumeurs qui projettent d’arrêter définitivement, 61% ont déjà expérimenté ou envisagent d’essayer la cigarette électronique. Cependant, l’enquête révèle aussi une diminution de la proportion de fumeurs souhaitant arrêter, passant de 53% en 2024 à 39% aujourd’hui.
Un choix gagnant pour la santé et le portefeuille
Pour ceux qui ont franchi le pas, les économies sont bien réelles ! Ils sont 83% à constater une réduction significative de leurs dépenses. Conjointement, 65% des vapoteurs rapportent une amélioration de leur qualité de vie, un constat particulièrement marqué chez les 35-49 ans mais aussi partagé par les catégories socio-professionnelles supérieures.
Des préjugés qu’il faut déconstruire
Si une partie des sondés (30%) estime que la cigarette électronique présente les mêmes risques pour la santé que la tabac fumé, la moitié reconnaît néanmoins que le tabagisme demeure plus dangereux que le vapotage, une opinion largement répandue chez les vapoteurs exclusifs (66%) et les vapofumeurs (63%).
Une restriction des arômes et un projet de taxation qui posent question
Pour ce qui est de la fiscalité les opinions divergent. 51% des personnes interrogées estiment que la cigarette électronique devrait bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse que celle du tabac. En revanche, 30 % considèrent que les deux produits devraient être taxés de la même manière.
Quant à une éventuelle réglementation des arômes, plus d’un tiers des vapoteurs (34%) s’y oppose fermement. 66% d’entre eux considèrent d’ailleurs que la variété des saveurs participe d’un sevrage durable et agréable. Si de telles mesures venaient à s’appliquer, 34% des vapoteurs et anciens fumeurs seraient prêts à délaisser la vape au profit de la cigarette, un risque majeur en contradiction avec les initiatives gouvernementales visant à lutter contre le tabagisme.
Une nouvelle étude pour faire bouger les lignes
Il y a quinze ans déjà, la France découvrait la vape, un outil révolutionnaire qui allait permettre à plusieurs millions de français de sortir du tabagisme. Pourtant, malgré son efficacité avérée, elle peine encore à obtenir la pleine reconnaissance des pouvoirs publics, comme le révèle cette enquête de l’IFOP. Plus de la moitié du panel (54%) pointe un manque de soutien de la part des autorités qui n’exploitent pas tout le potentiel de ce substitut. Un constat regrettable, d’autant plus qu’il a des conséquences directes sur la santé publique : face aux 12 millions de fumeurs en France et aux 75 000 décès annuels imputés au tabac, la priorité devrait être de favoriser toutes les solutions permettant de réduire les risques et de protéger la santé des citoyens.
Pour Rémi Baert, fondateur et PDG de Kumulus Vape : « Ce sondage montre que la cigarette électronique s’impose comme une solution essentielle pour réduire le tabagisme. Pourtant, le manque d’information éclairée chez les décideurs publics freinent son adoption. Il est urgent que les autorités sanitaires prennent en compte ces données et adaptent leur politique pour accompagner les fumeurs dans cette transition, qui est celle d’une réduction des risques à de maintes reprises établie. »